• Le club RH, mis en place dans les Ardennes, est animé par une juriste. Les entreprises adhérentes à cette action sont des PME-PMI qui ont besoin d’acquérir les bases en matière de ressources humaines. Le club a déjà permis de mieux comprendre la convention collective et projette de travailler sur la classification, en lien avec les fiches métiers réalisées en 2011.
• La communication n’est pas en reste avec la réalisation d’un nouveau spot cinéma bientôt dans les salles et la recherche de partenaires pour accueillir l’exposition itinérante de photos mettant en valeur les Hommes de nos fonderies. Peut-être aurez-vous le plaisir de voir ces magnifiques clichés dans les gares de la région ?
• La sécurité et l’environnement sont à l’honneur avec le déploiement du guide de bonnes pratiques Eloïse®, réalisé en 2011 par les fondeurs ardennais. Trois jours de formation ont permis aux fondeurs, marnais et haut-marnais principalement, de se mettre au même niveau que leurs collègues ayant participé à sa création. L’étape suivante sera de mettre en place des audits croisés et de se faire labelliser.
• La chaîne numérique est également une action phare de ce plan. En effet, après avoir travaillé avec les centres techniques partenaires sur la maîtrise de la CAO, les fondeurs s’attaquent désormais à la simulation de coulée. La maîtrise des outils numériques en interne permet à l’entreprise d’avoir des outils de langage commun avec les donneurs d’ordre (voire d’être actrice dans la co-conception), d’être plus réactive sur des réponses de prix mais aussi d’être plus compétitive. La maîtrise de la chaine numérique donne accès à de nouvelles perspectives technologiques telles que l’impression 3D sable, qui est intéressante pour des pièces « SAV » à reproduire alors que le moule n’existe plus, pour des pièces « design »... et pour du prototypage rapide.

La grande richesse du Plan de progrès des fondeurs est la rencontre de personnalités et l’échange désintéressé lors des différents groupes de travail. Ainsi, les fondeurs ne sont plus seuls face à une problématique et peuvent compter sur le groupe pour trouver une solution.

Ce plan, comme ses prédécesseurs, est cofinancé par l’État (Direccte), l’Union européenne via le FEDER, et les UIMM[2] Ardennes, Marne et Haute-Marne.

Contacts :

Acappi – Sandra Mignolet, tél. 03 24 58 42 18, sandra.mignolet@uimm.ardennes.com

Direccte – Céline Dispa, tél.  03 24 59 82 48, celine.dispa@direccte.gouv.fr

Correspondants pour la Haute-Marne :  

UIMM Haute-Marne – Gérard Maigret, tél. 03 25 07 50 94, maigret@metal52.org

Direccte – Stéphane Ménétrier, tél. 03 25 01 67 07, stephane.menetrier@direccte.gour.fr